Au matin du Dimanche 02 Mai 2021, des essais balistiques devaient être réalisés sur le stand de tir à 100 mètres de l’association, et des tirs avec différentes carabines à percussion centrale ont été effectués sur une maquette de pare-balles spécialement construite pour l’occasion, afin de tester la résistance des matériaux appelés à être choisis pour les composer au moment de leur construction prochaine, à différents calibres parmi lesquels les plus puissants.
* Pour visionner les photographies ci-dessus et ci-dessous en grand, prises par Madame Francine FLOCH qui n’apparaît donc pas sur les clichés, cliquez dessus, puis sur « close » en bas à droite pour les refermer et revenir à la présente page.
Le projet était de créer des pare-balles composés d’une rangée de bastaings sur leur face avant, d’une plaque inclinée en acier de 4 millimètres d’épaisseur à l’intérieur, et d’une rangée de bastaings sur leur face arrière, tel que ceux déjà existants sur les stands de tir à 25 et 50 mètres de l’association, initialement construits pour résister à des calibres moins puissants que ceux des armes susceptibles d’être utilisées pour du tir à la distance de 100 mètres.
Parmi les tireurs venus assister ou participer à ces tests, on comptait, outre le Président : Monsieur Didier FLOCH et son épouse Francine, Messieurs Maxence BURRET, Philippe ALMARCHA, Julien BAUBET, Sébastien DUMONT, Dimitri NESTEROVITCH et son fils Boris, Jean-Baptiste MIRABEL-CHAMBAUD, qui sont remerciés pour leur contribution et l’intérêt qu’ils portent aux projets du club de tir et à l’avancement de ses travaux en cours.
La maquette de pare-balles ayant été disposée à la distance de ce qui sera le premier d’entre eux, les résultats ne se sont pas fait attendre, et comme il était à craindre, la première rangée de bastaings et la plaque d’acier de 4 millimètres devaient être transpercées, mais surtout, sous l’effet de la fragmentation des projectiles qui ont continué leur course, le bastaing arrière devait être très sévèrement détruit, laissant à penser ce qui pourrait se passer dans la réalité en cas de tir accidentel vers le haut.
Des tirs d’essais complémentaires opérés après l’ajout d’une seconde plaque d’acier ajoutée à la première et espacée de celle-ci par quelques centimètres, devaient amener à la conclusion qu’il est nécessaire de procéder ainsi et de nouveaux devis sont consécutivement en cours d’élaboration, tenant la nécessité pour le club de tir, d’acheter des plaques métalliques supplémentaires.
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25 mai 2021
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